Bon, je ne reviendrai pas dessus, les Beattles ont été le grand groupe des années 60.
Il y a le coté bluette des débuts que d’aucuns pourraient critiquer mais j’adore écouter ticket to ride ou I wanna hold your hand. Il y a les tensions dans le groupe mais cela n’a jamais empêché les albums de génie.
Alors bon.
Revolver. Réglons le compte de la pochette… J’approche vaillamment de la cinquantaine et j’ai eu la joie de connaître les cours de dessin durant mes années collège, dans les années 70. Il y avait LE traditionnel dessin à l’encre de Chine avec la plume. De purs moments de bonheur car il m’arrivait d’imaginer la douleur insoutenable qu’aurait pu ressentir le prof si je lui avais planté ma plume dans l’oeil. Histoire de taquiner.
Pourquoi choisir Tomorrow Never Knows ? Déjà, je fais ce que que je veux. Mais aussi parce que c’est un morceau génial. L’album se situe à un moment charnière pour les Beattles qui ont pris la décision de ne plus faire de scène pour ne plus se consacrer qu’au travail de studio. Avec les moyens techniques de l’époque, le groupe pose de nouveaux jalons dans la production. Et ce morceau n’est pas sans rappeler les Stone Roses en 1989. Oasis doit aussi beaucoup à cet album. D’ailleurs faudrait qu’on m’explique pourquoi on rapproche Oasis des Stones…