Je revendique pleinement mon attachement à tous ces groupes qui n’hésitent pas à se réapproprier l’histoire de la pop et du rock et qui le font sans pompeux discours pseudo-intello : The Cults, Tame Impala, et ce groupe Django-Django et leur album éponyme (à la pochette hideuse). Boucles de synthés, percussions tribales, voix planantes et chorus à la Beach Boys sont au programme de cet étonnant opus. Le genre d’album qui s’écoute sur la plage, tranquillou si l’on veut se laisser aller.

Faut écouter, mais vraiment, faut pas regarder la pochette.