Pacific 231 est toujours sur les rails

Toujours sur les rails… A croire que je concours dans la catégorie jeux de mots bien nazes.

Moi, vous me connaissez, en plus d’un esprit blue flower, j’ai aussi un côté groupie, mais pas midinette.

J’avais récemment évoqué Einsturzende Neubauten, collectif mythique de la scène indus du début des années 80 et j’avais également évoqué Pacific 231, autre icône de cette même scène.

Voilà t’y pas que je reçois un mail de Pierre Jolivet, pas le celui du club Dorothée, le célèbre duo Pierre et Marc Jolivet… Nan ! Pierre Jolivet, celui de Pacific 231, Funk Off tout ça…

J’ai encore les cassettes de cette époque, je les écoute toujours, non pour me remémorer avec nostalgie une jeunesse à jamais enfuie (je suis toujours vivant ! quel miracle !). Non, j’y retourne de temps à autres afin d’y retrouver les racines de l’inspiration de nombreux groupes d’aujourd’hui à commencer par la quasi totalité du catalogue Expérimédia. Mais également d’autres plus conventionnels en apparence comme The Knife, Factory Floor ou Zomes par exemple.

Certes Pacific 231, comme Einsturzende Neubauten, a conservé le côté radical de ses débuts, c’est ce qui faisait que cette musique restait assez confidentielle. Quand on disait qu’on connaissait Pacific 231, c’était la claaaasse quoi merde !

Donc Pacific 231 existe toujours, il vient même de s’associer avec lieutenant caramel (Oui, je sais, dit comme ça, ça peut paraître strange).

Voilà les kids, c’est à découvrir ou à redécouvrir.