Avec leur troisième album, Who sold my generation, Night Beats reste sur la route du rock garage psyché aux inspiration 60’s.
On pourrait y percevoir un petit côté West-Coast, en plus cold et plus déglingué, quand même. C’est surement l’influence de Seattle. L’album alterne des morceaux aux attaques Funk (Power Child), aux mélodies Pop façon Kinks (Right/Wrong) et Rock Psyche (Egypt Berry).
Sunday Mourning est le titre phare de cet album. Il aurait presque pu s’inscrire dans une perspective Brit-Pop (Un mélange de Stone Roses et de Charlatan).
C’est cette diversité qui rend cet album plutôt plaisant à entendre. S’il avait été plus monolithique, on aurait reproché un air de déjà entendu à ce type de production. Mais, ici, au fond, on chemine dans des ambiances plutôt variées et c’est plutôt pas mal pour bien commencer l’été.