Je suis en train d’écouter le Miday show de Cheryl Waters (KEXP – Seattle). Sans doute l’une des meilleures émissions de radio. C’est la session live de Courtney Barnett.
Trop la classe, Oncle Pony !
Je sais.
Je ne peux résister au plaisir de vous présenter cette songwritrice de grande classe. Guitariste, parolière et chanteuse, elle ferait penser à une Patti Smith de la première époque (75-76) avec un brin, non, une bouquet entier de Velvet. Y’aurait d’ailleurs du Warhol rapport au morceau Canned Tomatoes. Faut suivre.
La Courtney n’est pas vraiment dans le trip punkette en colère, tendance Riot Grrrls. Non, du haut de ses 26 printemps, elle écrit des textes candides et pudiques sur une musique qui ne masque guère de prestigieuses influences. Ce sont les morceaux d’une véritable amoureuse de la musique.
On y retrouve avec joie les influences psychénoisypop de la charnière 88-92. Mais on entend aussi European Son ou Run, Run, Run. Ça fait un bail, pensez donc, c’était encore le 20ième siècle.
Et en restant classique, Courtney Barnett me procure cette sensation jouissive de la découverte en poussant encore davantage le Rock dans ses derniers retranchements.
Hey, hey, my, my, RocknRoll will never die.
C’est sur le label australien Milk Records. Label que Courtney Barnett a créé d’ailleurs.
Courtney Barnett / the double EP
Je suis en train d’écouter le Miday show de Cheryl Waters (KEXP – Seattle). Sans doute l’une des meilleures émissions de radio. C’est la session live de Courtney Barnett.
Trop la classe, Oncle Pony !
Je sais.
Je ne peux résister au plaisir de vous présenter cette songwritrice de grande classe. Guitariste, parolière et chanteuse, elle ferait penser à une Patti Smith de la première époque (75-76) avec un brin, non, une bouquet entier de Velvet. Y’aurait d’ailleurs du Warhol rapport au morceau Canned Tomatoes. Faut suivre.
La Courtney n’est pas vraiment dans le trip punkette en colère, tendance Riot Grrrls. Non, du haut de ses 26 printemps, elle écrit des textes candides et pudiques sur une musique qui ne masque guère de prestigieuses influences. Ce sont les morceaux d’une véritable amoureuse de la musique.
On y retrouve avec joie les influences psychénoisypop de la charnière 88-92. Mais on entend aussi European Son ou Run, Run, Run. Ça fait un bail, pensez donc, c’était encore le 20ième siècle.
Et en restant classique, Courtney Barnett me procure cette sensation jouissive de la découverte en poussant encore davantage le Rock dans ses derniers retranchements.
Hey, hey, my, my, RocknRoll will never die.
C’est sur le label australien Milk Records. Label que Courtney Barnett a créé d’ailleurs.
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